Le progrès scientifique et le développement technologique ne parviennent pas à changer les systèmes mondiaux et à résoudre les problèmes du monde. Les problèmes comprennent l'escalade des aspects du chômage, du taux de criminalité, de la faim, du terrorisme, de la violence basée sur le genre (du moins dans le cas de l'Afrique du Sud), ainsi que la dégradation de l'environnement et la prévalence de maladies mortelles telles que le VIH/SIDA et maintenant la pandémie de Covid-19.
Réflexions personnelles
Le point de vue de mon parcours éducatif et de ma formation professionnelle. J'ai obtenu mon premier diplôme en éducation, avec une spécialisation en histoire et dans une langue indigène (le setswana), avec l'histoire et l'éducation comme matières principales. Mes spécialisations étaient l'histoire de l'éducation et l'économie politique. Après 1994, ces cours ont fait l'objet de contestations. Mon projet de recherche spécial de maîtrise, non publié, portait sur la "Pertinence de la tradition orale et du témoignage dans le programme d'histoire". Un chapitre de ce projet a abouti à un chapitre intitulé "Ziphora Moichela enquête sur Schweizer-Reneke", publié dans le livre destiné aux enseignants et aux futurs enseignants intitulé ""Enseignants, transformez l'histoire" : Faire de l'histoire - L'enseignant en tant que chercheur, édité par Krige, Friedman, Akojee, Devine, Moichela et Greybe (1997, pp. 1-72). Cette recherche m'a convaincu que les Africains d'origine indigène, en l'occurrence les DO, ont également une histoire qui doit être connue, racontée, reconnue et admise dans les programmes et les manuels scolaires.